L’usine Itron : j’interpelle Bruno Le Maire

Mercredi 31 mai, la Préfecture de la Vienne a réuni un comité de mobilisation territoriale autour de la fermeture de l’usine Itron de Chasseneuil-du-Poitou. J’y ai exprimé mon soutien aux salariés et mon souhait de privilégier une reprise totale du site.

En marge de ce comité, j’ai écrit à Bruno Le Maire afin qu’il se saisisse du sujet ! Ce site et les compétences des salariés sont précieux pour la France. J’en appelle à des actes politiques concrets pour sauvegarder l’usine et j’invite le Ministre à venir la visiter.

Aujourd’hui, la direction d’Itron France a précisé que les licenciements / reclassements ne toucheront « que » 80/90 salariés. L’entreprise ne fait pas preuve d’une grande motivation pour aller vers une reprise totale du site.

Néanmoins, la recherche de repreneur est engagée et je resterai vigilante à ce qu’elle aboutisse. Nous devons faire notre possible, à tous les niveaux, pour que les compétences des équipes restent dans le Poitou et, bien sûr, éviter l’apparition d’une énième friche industrielle !

L’usine Itron : j’interpelle Bruno Le Maire

Mercredi 31 mai, la Préfecture de la Vienne a réuni un comité de mobilisation territoriale autour de la fermeture de l’usine Itron de Chasseneuil-du-Poitou. J’y ai exprimé mon soutien aux salariés et mon souhait de privilégier une reprise totale du site.

En marge de ce comité, j’ai écrit à Bruno Le Maire afin qu’il se saisisse du sujet ! Ce site et les compétences des salariés sont précieux pour la France. J’en appelle à des actes politiques concrets pour sauvegarder l’usine et j’invite le Ministre à venir la visiter.

Aujourd’hui, la direction d’Itron France a précisé que les licenciements / reclassements ne toucheront « que » 80/90 salariés. L’entreprise ne fait pas preuve d’une grande motivation pour aller vers une reprise totale du site.

Néanmoins, la recherche de repreneur est engagée et je resterai vigilante à ce qu’elle aboutisse. Nous devons faire notre possible, à tous les niveaux, pour que les compétences des équipes restent dans le Poitou et, bien sûr, éviter l’apparition d’une énième friche industrielle !