Les projets de bassines sur le bassin-versant du Clain

En tant que vice-présidente de la commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire, j’ai pu questionner Mme Bérangère Couillard, secrétaire d’État chargée de l’écologie, par rapport aux projets de bassines sur le bassin-versant du Clain. Alors qu’aucun Projet de Territoire pour le Gestion de l’Eau (PTGE) n’a été créé, qu’aucune étude des conséquences du prélèvement de millions de mètre cubes d’eau sur notre territoire n’a été élaboré, les projets avancent.

En ce sens, Mme la secrétaire d’État a eu une réponse claire : le ministère de la transition écologique « regarde souvent avec beaucoup de perplexité les projets qui sont proposés », avant d’admettre qu’il y a bien besoin des études préalables et des PTGE afin de mettre en œuvre – ou non – les projets de bassines. Surtout, elle déclare que « ce n’est pas par ce qu’il y a un manque d’eau que l’on va généraliser les bassines et en faire partout sur le territoire ». La secrétaire d’État a tenu des propos qui vont dans le sens d’une plus grande concertation, d’une véritable remise en question, et c’est ce pour quoi je milite également : il ne doit pas être possible de construire les bassines tant que leurs impacts n’ont pas été évalués.

Retrouvez l’intégralité de la séance en cliquant ici.

Les projets de bassines sur le bassin-versant du Clain

En tant que vice-présidente de la commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire, j’ai pu questionner Mme Bérangère Couillard, secrétaire d’État chargée de l’écologie, par rapport aux projets de bassines sur le bassin-versant du Clain. Alors qu’aucun Projet de Territoire pour le Gestion de l’Eau (PTGE) n’a été créé, qu’aucune étude des conséquences du prélèvement de millions de mètre cubes d’eau sur notre territoire n’a été élaboré, les projets avancent.

En ce sens, Mme la secrétaire d’État a eu une réponse claire : le ministère de la transition écologique « regarde souvent avec beaucoup de perplexité les projets qui sont proposés », avant d’admettre qu’il y a bien besoin des études préalables et des PTGE afin de mettre en œuvre – ou non – les projets de bassines. Surtout, elle déclare que « ce n’est pas par ce qu’il y a un manque d’eau que l’on va généraliser les bassines et en faire partout sur le territoire ». La secrétaire d’État a tenu des propos qui vont dans le sens d’une plus grande concertation, d’une véritable remise en question, et c’est ce pour quoi je milite également : il ne doit pas être possible de construire les bassines tant que leurs impacts n’ont pas été évalués.

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